après l’arrestation de leur leader, Omoyele Sowore. Cet ancien candidat à la présidentielle a été arrêté ce week-end. D’autre part, le dirigeant chiite Ibrahim Zakzaky, dont l’emprisonnement avait provoqué des manifestations réprimées dans le sang en juillet, a été autorisé lundi à se rendre sous caution en Inde pour se faire soigner.
Les forces de l’ordre ont dispersé avec des grenades lacrymogènes, lundi à Lagos, des manifestants appelant à une «révolution» contre le président Muhammadu Buhari,
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publié le 5 août 2019 à 19h36
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