Alors que le démocrate Joe Biden a accusé mercredi le langage «toxique» de Trump d'attiser «les flammes du suprémacisme blanc», le Président a jugé que les attentats d'El Paso (Texas) et de Dayton (Ohio) n'avaient «rien à voir» avec lui et a fustigé l'électoralisme de ses détracteurs avant de se rendre sur les lieux des tueries du week-end. A Dayton, des centaines de manifestants l'ont exhorté à «s'opposer à la NRA», lobby pro-armes.
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