Le mouvement de contestation du régime algérien est entré vendredi dans son dixième mois, maintenant la pression à l'approche de la présidentielle du 12 décembre, perçue comme une manœuvre du pouvoir pour se régénérer. «Nous demandons la liberté et on ne fera pas marche arrière», a martelé en chœur la foule dans la capitale, avant de se disperser sans incident en fin d'après-midi. Des manifestations ont fortement mobilisé dans plusieurs autres villes du pays, selon les médias en ligne et les réseaux sociaux.
Algérie Quarantième vendredi de manifestation
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publié le 22 novembre 2019 à 20h21
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