«Le 24 mars, Bolsonaro prononce un discours fatidique, le "discours de la mort", totalement irresponsable et criminel», écrit dans une tribune Frédéric Vandenberghe, professeur de sociologie à l'Institut de philosophie et de sciences sociales à l'Université fédérale de Rio de Janeiro (IFCS-UFRJ). En appelant, contre l'avis de l'OMS et de son propre ministre de la Santé, à la levée du confinement parce qu'il considère que le coronavirus est une «simple grippette», le président brésilien provoque intentionnellement le chaos et sème la mort. Photo XXX
TRIBUNE
Bolsonaro commet un «populicide» au Brésil
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publié le 6 avril 2020 à 19h51
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