Dissolution, guerre au Proche-Orient, morts de l’année… Retrouvez tous les articles de la rétro 2024 en cliquant sur ce lien.
C’était écrit, cela ne pourrait être que «l’apocalypse», «la honte pour la France», ou l’organisation à marche forcée d’un événement tout à la fois sécuritaire, gentrificateur et élitiste. Ce complexe déclino-pessimisto-critique s’est longtemps appuyé sur les sondages d’opinion racontant le supposé faible engouement des Françaises et Français pour l’édition 2024 des Jeux olympiques et paralympiques. La dissolution est passée. Les législatives anticipées également. La France allait donc traverser le premier événement planétaire avec un gouvernement démissionnaire à sa tête. Cata assurée. Imaginez le métro bondé : quel bordel mes amis ! Et ces QR codes pour accéder aux zones les plus proches de la Seine : quel scandale ! Et la météo : quelle poisse ! Bon, il a plu des seaux sur la cérémonie d’ouverture concoctée par