Christine Deviers-Joncour, parce qu’Elf le valait bien
La maîtresse de Roland Dumas, ministre phare de l’ère Mitterrand, qui a mené grand train avec les millions que lui versait la compagnie pétrolière publique. Lire l’article
Robert Bourgi: dans le costume de la Françafrique
Après Jacques Foccart, il a incarné les relations malsaines entre la France et ses anciennes colonies. Le 8 mars 2019, un décret présidentiel signé Emmanuel Macron stipulait : «M. Robert Bourgi est privé pour une durée de cinq ans du droit de porter les insignes de la Légion d’honneur.» La récompense lui avait été remise par Nicolas Sarkozy, en octobre 2007. Lire l’article
«Mimi» Marchand, prouesse à scandales
Avec Michèle Marchand, difficile de trier le vrai du faux, de faire tomber les faux-semblants dont joue encore, à 75 ans, l’ex-femme de voyous, marchande de ragots devenue papesse de la presse people, amie des puissants et conseillère image d’Emmanuel et Brigitte Macron. Lire l’article
Alexandre Djouhri, tout reste affaires
On lui doit le concept de la «crémitude», soit l’art de s’en mettre plein les poches en tant qu’intermédiaire ou apporteur d’affaires. «L’argent, je marche dessus; il y en a partout, il suffit de travailler. Mais cela n’a jamais été ma motivation», dira-t-il à des magistrats. C’est peu dire qu’Alexandre Djouhri aura révolutionné le métier, ancien caïd franco-algérien des cités du 9-3, tutoyant le CAC 40, puis l’Elysée. Lire l’article
Ludovic Chaker, tortueux «ninja»
Cet après-midi de juillet 2018, un van aux vitres teintées s’avance lentement vers le domicile d’Alexandre Benalla, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Quelques heures plus tôt, le Monde a révélé que le garde du corps d’Emmanuel Macron avait molesté des manifestants en marge des rassemblements du 1er mai. Les Français découvrent, médusés, l’existence de ce jeune salarié de l’Elysée aux missions floues, dont le rôle dans l’entourage du nouveau président va bientôt virer à l’affaire d’Etat. Lire l’article
Bernard Squarcini, chef espion confit d’intérêts
Les arrière-cuisines de la République, il les connaît comme sa poche. Et pour cause : Bernard Squarcini, 66 ans, a passé plus de trois décennies dans l’ombre du pouvoir, option régalien, police en général, renseignement en particulier. Et c’est peu dire que l’ancien chef espion, devenu consultant dans le privé, n’a pas coupé les ponts. Du moins, jusqu’à ce que la justice sonne la fin de partie. Lire l’article