Menu
Libération
Le portrait

Un an après les Jeux : Aurélie Aubert, sa bulle dans la balle

Article réservé aux abonnés
Médaille d’or à la boccia, l’inattendue championne normande a dû apprendre à gérer l’attention médiatique.
Aurélie Aubert à Richebourg, le 5 juin 2025. (Florence Brochoire/Libération)
publié le 6 août 2025 à 15h05

Médaillés, artistes ou organisateurs, ils ont marqué la salve olympique parisienne. Quel a été l’impact sur leurs vies et leurs carrières ? Des figures marquantes des Jeux ont accepté de raviver la flamme pour Libé.

On y met nos deux bras au feu : un an après, «boccia» ne dit plus rien à beaucoup de monde. Appellation d’une sorte de pétanque qui se joue avec des balles en cuir, le terme a été englouti dans l’invisibilisation du monde du handicap, toujours d’actualité malgré les belles envolées inclusives qui ont accompagné les Jeux paralympiques de Paris. En revanche, on a fait le test, en montrant sa photo : même confusément («Ah oui ! Mais c’est qui, au fait ?»), le visage d’Aurélie Aubert parle au tout-venant. Il faut dire qu’elle a eu