Des manifestations ont lieu partout en France ce jeudi,à l’appel de l’intersyndicale, contre l’austérité budgétaire. Une mobilisation dont l’ampleur est loin de celle du 18 septembre.

Dans une interview au quotidien «Le Figaro», le patron des Républicains met la pression sur le Premier ministre, qui doit dévoiler la composition de son équipe ministérielle dans les tout prochains jours.

Appuyés par les députés d’extrême droite, les macronistes et la droite ont repris la commission des affaires économiques et celle des affaires culturelles, ce jeudi 2 octobre.

En pleine polémique sur les notes de frais de la maire de Paris, Anne Hidalgo, «Libération» a pu consulter en exclusivité les dépenses de représentation de l’ensemble des maires d’arrondissement et en analyser le détail.

Le détail des dépenses des maires d’arrondissement, que «Libération» a pu consulter en exclusivité, révèle moins les excès individuels que la persistance d’une culture politique hors-sol, incapable de comprendre le quotidien des citoyens.

Un millier de personnes ont manifesté ce jeudi dans la préfecture des Côtes-d’Armor. Un chiffre en nette baisse par rapport au 18 septembre. La faute, entre autres, au flou entretenu par Sébastien Lecornu sur son futur budget.

Si les comportements pointés par notre enquête, publiée ce jeudi 2 octobre, ne sont pas des actes illégaux, ils interrogent toutefois la moralité des représentants mis en cause.

En pleine journée de mobilisation syndicale pour exiger notamment plus de justice fiscale, ce jeudi 2 octobre, l’entourage du Premier ministre a dévoilé à l’AFP quelques premières idées de mesures en vue du budget 2026.

Le député écologiste, d’origine iranienne, a surmonté un cancer avant de revenir à l’assemblée, résolu à défendre la démocratie menacée.

Pointé du doigt pour les excès de ses dépenses, le maire d’arrondissement socialiste Eric Lejoindre dénonce «une tentative de diversion de la part de la droite parisienne».

La macronie et LR ont offert au RN deux vice-présidences au Palais-Bourbon, au grand dam de la gauche qui crie à la «trahison». Un accord qui pourrait s’étendre aux présidences de commissions, avec un possible renvoi d’ascenseur lepéniste.

Habituée des polémiques, l’insoumise proche de Mélenchon semble bien partie, d’après les hautes instances du parti, pour candidater à la succession d’Anne Hidalgo.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le journaliste Michel Henry se désespère de certains de ses confrères qui reprennent sans recul les propos de l’ex-président, accablent la justice, au lieu de rappeler les faits d’une «extrême gravité».

A l’approche d’une nouvelle journée d’action intersyndicale, le Premier ministre s’est engagé à reprendre dans le budget 2026 une mesure d’amélioration des retraites des femmes.

Réélu en 2020, l’ancien maire de Levallois avait dû renoncer à son mandat après sa condamnation pour fraude fiscale. Selon «le Parisien», il a défendu la levée de son inéligibilité devant la cour d’appel de Paris, ce mercredi 1er octobre.

Fondé sur des recherches universitaires longues, l’impôt plancher proposé par l’économiste a réussi à s’imposer dans le débat public comme le révélateur parfait du désir de justice fiscale.

Le patron du RN va publier «Ce que veulent les Français», selon le communiqué diffusé ce mercredi 1er octobre par l’éditeur tombé dans les mains de Vincent Bolloré en 2024.

Deux députés d’extrême droite ont été élus au bureau du Palais-Bourbon ce mercredi 1er octobre, après un accord négocié par la présidente, Yaël Braun-Pivet, soucieuse de la représentation de tous les groupes dans cette instance.

Alors que Carole Delga a expliqué ce mercredi 1er octobre ne pas soutenir la candidate LFI dans la 5e circonscription, qui regroupe la péninsule ibérique et Monaco, le parti affirme qu’il ne s’agit là que d’une position personnelle.

Pas convaincue par les premières pistes esquissées par le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, l’intersyndicale au grand complet entend maintenir la pression dans la rue, ce jeudi.

...Mais ce sont moins leurs noms que la politique qu’ils seront appelés à mener qui importe dans ce moment de dépolitisation intense.

Le patron des Républicains, Bruno Retailleau, a exposé, mercredi 1er octobre, devant les parlementaires du parti les conditions de la droite pour participer au futur gouvernement.

Excellente sur son principe, planche de salut pour un PS à la peine, la mesure ne peut pas répondre à tout, ni ne doit éclipser d’autres sujets majeurs.

Le sénateur Roger Karoutchi, cadre du parti de Bruno Retailleau, voterait «bien sûr» et «sans état d’âme» pour Le Pen ou Bardella face au leader insoumis.

Alors que le scrutin pour renouveler le bureau de l’Assemblée se tient ce mercredi 1er octobre, quelques élus Renaissance restent rétifs à l’accord voulu par les leaders de leur camp avec l’extrême droite.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Incarcéré à 16 000 kilomètres de son archipel pendant un an, puis libéré sous contrôle judiciaire avec obligation de rester dans l’Hexagone, Christian Tein a été autorisé à rentrer en Nouvelle-Calédonie, a-t-on appris ce mercredi.

Chez Les Républicains, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ne tarissent pas d’éloges pour la présidente du Conseil italien, malgré des résultats économiques en trompe-l’œil et une politique migratoire mêlant restrictions et régularisations

En parallèle de l’ouverture de la nouvelle session ordinaire, mercredi 1er octobre, la chambre basse un tout premier vote, disputé, va être organisé pour désigner ses futurs vice-présidents, questeurs et secrétaires.

Cette taxe de 2% sur le patrimoine des super-riches, c’est l’opportunité inattendue de la gauche, l’instant décisif que les Grecs appelaient «kairos». Combien de temps cette parenthèse peut-elle durer ?

Depuis 2020, le président de l’imposante collectivité rhodanienne nourrit une «culture de l’efficacité». Et prépare en coulisses, pour son parti, la candidature des gauches pour la présidentielle 2027.

Ouverte le 22 septembre devant le tribunal correctionnel de Lyon, l’audience s’est clôturée mardi 30 septembre. Trois ans ferme, 50 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité ont été requis contre le maire de Saint-Etienne.

Six hommes du groupe d’extrême droite radicale âgés de 39 à 76 ans ont été, ce mardi 30 septembre, reconnus coupables d’association de malfaiteurs terroriste par le tribunal correctionnel de Paris.

L’ancien ministre, diagnostiqué d’un trouble de l’attention, s’est reconverti animateur télé et entrepreneur après une grosse phase de décompression.

En l’absence de candidat face à l’insoumis Aymeric Caron, le vote pour la présidence de cette commission d’enquête est à nouveau reporté, à la demande du groupe LR à l’Assemblée.

Au Parlement européen, une partie des lepénistes veut signer la résolution, qui doit être déposée mercredi 1er octobre par l’extrême droite belge Tom Vandendriessche, assimilant le mouvement au «terrorisme», comme l’a fait Trump.

La procureure de Paris, Laure Beccuau, a dénoncé mardi 30 septembre un «déchaînement» sur les réseaux sociaux visant la présidente du tribunal correctionnel qui a condamné Nicolas Sarkozy.

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Confrontés à une campagne de haine en ligne, avec le soutien d’une droite qui reprend les amalgames de l’extrême droite, les maires de Lyon et de Marseille rappellent que la diversité porte en elle les promesses de nos valeurs républicaines