Les insoumis, pressés de faire tomber le nouveau Premier ministre, devront vraisemblablement attendre qu’il nomme un gouvernement pour déposer leur motion de censure.

Confiants dans leurs chances de victoire à Paris, Lyon ou Marseille, Les Républicains savent que la «vague bleue» promise par Bruno Retailleau passera par des alliances avec le bloc central.

Le premier président de la Cour des comptes a rappelé ce vendredi 26 septembre que le nouveau Premier ministre devait lui présenter son projet de loi de finances dans une poignée de jours avant de le transmettre au Parlement.

Le délit d’«association de malfaiteurs», qui concerne l’ancien président, avait été supprimé sous Mitterrand, puis rétabli par Chirac alors Premier ministre.

Plusieurs responsables LR en appellent au chef de l’Etat pour éviter à l’un de ses prédécesseurs de dormir en prison. En oubliant un peu trop vite qu’il faut une condamnation définitive pour y prétendre.

Si l’insoumis Eric Coquerel devrait garder son poste de président, le centriste Charles de Courson pourrait perdre celui de rapporteur général du budget au profit de Renaissance qui aimerait le récupérer.

La cheffe de file des députés RN à l’Assemblée a répété jeudi sur LCI que son parti voterait la censure contre le Premier ministre s’il n’y avait pas de «rupture avec la politique menée ces huit dernières années».

Chef d’entreprise millionnaire et communicant rusé, l’ancien président de l’Olympique lyonnais, 76 ans, se lance dans la bataille municipale à Lyon à la tête d’une union de la droite et des macronistes, face au maire écologiste sortant.

L’ancien président de la République, relaxé par ailleurs des faits de corruption, a été condamné pour association de malfaiteurs.

Il faut prendre la mesure de la décision inédite rendue ce jeudi 25 septembre : elle vient confirmer à quel point le mal dont souffre aujourd’hui la politique est ancien et elle prouve l’indépendance de la justice.

Comme une cinquantaine de mairies, la municipalité écologiste l’avait hissé lundi 22 septembre au fronton de son hôtel de ville pour accompagner la reconnaissance de l’État de Palestine par la France.

L’ex-chef de l’Etat apparaît comme le représentant le plus abouti de la culture des voraces en politique. Enfin, plus d’une décennie après la création du Parquet national financier, il en est fini de l’exception démocratique française.

L’ancien chef de l’Etat a été déclaré coupable d’association de malfaiteurs dans le cadre de l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Après la décision, ses soutiens s’en sont vertement pris à la décision du tribunal.

Dans son ancien fief des Hauts-de-Seine, la condamnation de l’ex-président à cinq ans de prison, assortie d’une prochaine incarcération, a été accueillie avec virulence… ou désintérêt.

Autrefois proches, les deux élus verts sont aujourd’hui en conflit ouvert. Après sa suspension de son poste de porte-parole, le maire de Grenoble accuse son ancienne directrice de campagne de vengeance personnelle.

L’édile Place publique va soumettre une délibération à son conseil municipal jeudi 25 septembre pour démettre Lila Djellali de ses fonctions d’adjointe, ainsi que sa charge de l’économie sociale et solidaire et de l’alimentation durable.

Alors que des élections vont se tenir au Palais-Bourbon les 1er et 2 octobre pour remettre en jeu les postes stratégiques, Gabriel Attal a demandé à Sébastien Lecornu de ne pas recruter au gouvernement ceux qui en auraient obtenu.

A force de marteler qu’il est temps d’imposer les plus fortunés, notamment avec la taxe Zucman, d’autres idées s’invitent dans le débat et pas seulement à gauche… comme le retour de l’ISF.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le texte transpartisan, détaillé à la presse mercredi 24 septembre, entend contrecarrer un modèle grandissant, pas forcément gage de bonne santé financière et qui profiterait surtout aux grosses écuries.

Dans une lettre adressée aux Lyonnaises et aux Lyonnais, l’ancien président de l’OL a annoncé ce jeudi 25 septembre sa candidature aux prochaines municipales dans sa ville de cœur.

Le Président a affirmé mercredi 24 septembre au soir qu’il «aura dans les prochaines semaines des clarifications» en vue d’une possible libération d’«otages d’Etat» détenus par Téhéran.

Ceux qui ont de la sympathie pour l’ancien président ont bien le droit de la lui témoigner, mais il est choquant que des responsables politiques trouvent encore honorable de se rendre dans les bureaux après ses condamnations.

L’édile, qui passera la main l’an prochain, est accusé de pressions dans le cadre de la désignation de sa successeuse, élue dimanche 21 septembre. Les autres partis de gauche, eux, partent désunis.

Le Premier ministre, qui égrène les mesures anecdotiques, n’a encore rien dit des pistes censées lui concilier la gauche et permettre l’adoption du budget. Des annonces sont envisagées dans les prochains jours.

Cinq enfants ambitieux, un empire du luxe, des plans secrets et Vincent Bolloré en embuscade : d’après les informations de «Libération», le quotidien national cristallise les tensions au sein du clan du patron de LVMH.

La grotesque allocution du président américain à la tribune de l’ONU a tout de même un sens : tout ce qu’il n’aime pas doit être abaissé, sali, balayé.

Reçus ce mercredi par Sébastien Lecornu, les syndicats ont annoncé une journée de grève le 2 octobre, et l’organisation patronale «un grand meeting» le 13. Mais les raisons divergent amplement.

Le Premier ministre reçoit la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa, la FSU et Solidaires ce mercredi 24 septembre dans la matinée ; avant les syndicats patronaux dans l’après-midi.

Ouverte depuis lundi 22 septembre devant le tribunal correctionnel de Lyon, l’audience s’est poursuivie mardi soir et mercredi avec le témoignage du maire de Saint-Etienne. Il fait l’objet de trois mises en examen et continue de nier son im

Non, le monde n’est pas fait que de nuances de brun. Un souffle de liberté se fait sentir avec la sortie d’un petit livre sur le soulèvement iranien «Femme, vie, liberté», écho d’une jeunesse qui lutte.

La résistance des cathos de gauche et les déboires de Stérin : posez vos questions à Théo Moy, cofondateur de la revue «le Cri», Manon Rousselot-Pailley, présidente du MJRC, et Nicolas Massol, journaliste à «Libé», à 18 heures sur Twitch.

Ressorties sans «réponse claire» de leur rendez-vous, les organisations syndicales ont annoncé une nouvelle journée de mobilisation le 2 octobre.

La Cour des comptes alerte sur le mur financier auquel est confronté l’électricien : 460 milliards d’euros à trouver d’ici à 2020. Mais personne ne devrait être surpris, à commencer par le chef de l’Etat.

L’ancien ministre de la Justice a taclé son successeur ce mercredi 24 septembre en lui reprochant de commenter les décisions judiciaires. L’actuel garde des Sceaux lui a répondu en affirmant «remettre de l’ordre dans nos prisons».

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Comme chaque année, les 21 postes qui composent le bureau de la chambre basse, en plus de sa présidente, vont être remis en jeu le 1er octobre. La gauche victorieuse aux législatives anticipées risque de perdre des postes.

Un rapport parlementaire présenté mercredi 24 septembre propose de faire perdurer la mesure dont l’expérimentation, en cours dans 72 collectivités, doit prendre fin en novembre 2026.

Distancée par Michel Barnier au premier tour de la partielle de la 2e circonscription de la capitale, l’ancienne ministre de François Mitterrand ne part pas favorite dans ce secteur très favorable à la droite.

Poursuivi pour injure publique par le parti de Jean-Luc Mélenchon, l’essayiste et philosophe a tenté mardi 23 septembre de retourner le procès pour en faire celui de l’antisémitisme supposé du parti de gauche.