L'ex-chef du gouvernement ne bénéficiera en effet pas des avantages financés par Matignon, car il ne remplit pas les conditions pour y avoir droit. Il devrait être placé sous protection policière, à la charge du ministère de l’Intérieur.

Le patron du parti communiste, Fabien Roussel demande à Beauvau de «revenir à l’esprit de la loi de 2014» sur la parité des candidats, «en renonçant à cette pénalité financière parfaitement ubuesque, à contre-courant de l’histoire».

Vers qui se dirigera Emmanuel Macron pour former un nouveau gouvernement ? Nos éditorialistes politiques Thomas Legrand et Jonathan Bouchet-Petersen répondent à vos questions à partir de 13h30, en direct sur Twitch.

A l’appel du mouvement Bloquons tout, plusieurs centaines de personnes, citoyens et militants de gauche, se sont réunies place des Terreaux lundi 8 septembre pour célébrer le départ du Premier ministre.

Les insoumis soutiennent pleinement le mouvement «Bloquons tout», avec en ligne de mire la destitution d’Emmanuel Macron. Une stratégie qui pourrait se révéler contre-productive si la mobilisation n’est pas au rendez-vous.

Gabriel Attal propose à Emmanuel Macron de nommer un négociateur chargé de mettre d’accord les partis. Ce qu’avait déjà proposé le socialiste Olivier Faure en décembre et Pascal Canfin dès septembre 2024.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Les médias internationaux se montrent particulièrement sévères à l’égard d’Emmanuel Macron, pointant les conséquences de sa décision de dissoudre l’Assemblée et de convoquer des législatives anticipées en 2024.

La multicrise est là, entre vote de confiance de François Bayrou et dette, et c’est la responsabilité du chef de l’Etat. Mais aujourd’hui, où êtes-vous monsieur le Président ?

Après la chute du gouvernement Bayrou, l’ex-ministre désormais Haut-Commissaire au plan plaide pour une «logique de coalition» et appelle le bloc central à un «effort sur la fiscalité», tout en défendant le bilan de huit ans de macronisme.

Le renversement du Premier ministre, lundi 8 septembre, laisse en suspens les textes budgétaires, qui doivent être présentés le 7 octobre au plus tard.

Les Norvégiens ont voté ce lundi 8 septembre pour renouveler les 169 sièges de leur Parlement. Selon les premières projections, la gauche a remporté les élections législatives, toutefois marquées par une poussée de l'extrême droite.

Les parlementaires Rassemblement national et ceux de gauche ont tous voté contre la confiance au Premier ministre. Au sein du bloc central, seuls Les Républicains ont voté en ordre dispersé.

L’agglomération de Besançon, dirigée par la gauche, avait annoncé la semaine dernière qu’elle avait annulé la participation du philosophe à cet événement littéraire en raison de «déclarations polémiques» de l’auteur.

Si le parti d’extrême droite privilégie une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, les insoumis plaident pour la démission ou la destitution d’Emmanuel Macron, en vue d'une élection présidentielle anticipée.

Les députés ont scellé le sort du gouvernement sortant ce lundi, au terme de la déclaration de politique générale du Premier ministre et d’une prise de parole de chaque président de groupe.

Pour comprendre l’entourloupe politique d’un vote de confiance perdu d’avance, une question se pose : pourquoi le Premier ministre déchu répète-t-il depuis quarante ans être un adepte du compromis, alors qu’il n’en a cherché avec personne ?

Désavoué à l’Assemblée, le Premier ministre remet sa démission au Président ce mardi 9 septembre. Le chef de l’Etat doit une nouvelle fois trouver une formule pour résoudre une équation politique impossible.

Filmé attablé lors du Kouss-kouss festival, le maire de Marseille a été la cible de nombreux commentaires injurieux sur les réseaux sociaux.

Les députés LR ont voté en ordre dispersé ce lundi 8 septembre, avec 27 voix sur 49 en faveur du Premier ministre. Les huiles du parti se réunissent mardi pour débattre de la suite, sur fond d’opposition entre Retailleau et Wauquiez.

Par son hara-kiri politique, le Premier ministre voulait marquer les esprits. Ce sont surtout ses confondantes erreurs qui laisseront des traces.

Une cour d’appel de New York a confirmé, ce lundi 8 septembre, la condamnation du président américain énoncée en janvier 2024 par un jury populaire pour ses attaques répétées sur les réseaux sociaux contre l’autrice, qui l’accuse de viol.

Depuis que la chute de François Bayrou est annoncée, écologistes et socialistes répètent qu’ils sont prêts à incarner un autre chemin à Matignon et excluent l’hypothèse d’une coalition avec la macronie.

Le Premier ministre a prononcé ce lundi 8 septembre son discours de générale devant les députés, pour tenter une nouvelle fois de convaincre sur l’urgence budgétaire et d’éviter la chute de son gouvernement.

Malgré un discours qui aura été le meilleur de son bail à Matignon, le chef du gouvernement a prouvé qu’il n’était pas capable de s’émanciper des dogmes économiques et fiscaux d’Emmanuel Macron.

Le 31 mars, le tribunal correctionnel de Paris a condamné la cheffe des députés du Rassemblement national à quatre ans d’emprisonnement dont deux ferme, une amende, et surtout, une peine d’inéligibilité de cinq ans avec exécution immédiate.

Avant le discours de François Bayrou devant l’Assemblée nationale ce lundi 8 septembre, «Libé» a imaginé un bingo avec toutes les phrases attendues... Combien d’entre elles seront prononcées, d’après vous ?

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Après son intervention lors du congrès, samedi 6 septembre, pour dénoncer le changement de désignation du président des Jeunes Républicains, le parti doit décider ce lundi s’il engage une procédure d’exclusion à son encontre.

Le Premier ministre a accepté samedi 6 septembre, à deux jours d’être renversé, de se faire tirer le portrait par l’AFP. Un étrange rendez-vous que nous raconte le photographe de l’agence de presse.

Après avoir été très opposé à une primaire, le patron des députés LR a changé d’avis, tout en assurant qu’il n’a pas changé d’avis.

Le photographe de l’Agence France Presse Joël Saget, invité par François Bayrou samedi 6 septembre à l’hôtel de Matignon, revient sur cette séance photo qui a des faux airs d’album souvenir de son passage entre les murs.

Après un discours de politique générale, François Bayrou va engager la confiance de son gouvernement en activant l’article 49 alinéa 1 de la Constitution. Et devrait, sauf énorme surprise, être contraint de donner sa démission.

Nomination d’un Premier ministre de gauche, du bloc central, dissolution… Le constitutionnaliste Benjamin Morel décortique les scénarios de l’après-Bayrou.

Le Premier ministre se présente, lundi 8 septembre, devant les députés pour solliciter un vote de confiance qu’il n’obtiendra pas. Retour sur un passage à Matignon marqué par l’immobilisme.

Bruno Retailleau a clôturé dimanche 7 septembre le congrès de rentrée du parti. Il entend poser des «conditions» à la participation de son camp au futur gouvernement.

En amont du vote de ce lundi, les partis de gauche mettent la pression sur le Président. Les socialistes revendiquent Matignon et posent leurs conditions aux macronistes, tandis que les insoumis réclament une présidentielle anticipée.

A J-1, les jeux semblent faits : malgré son marathon médiatique, le Premier ministre ne semble pas avoir réussi à trouver les arguments pour éviter une défaite. Tous les regards se tournent déjà sur les jours d’après.

Dans son fief du Pas-de-Calais, ce dimanche, la cheffe de file du Rassemblement national a de nouveau appelé à une dissolution. Malgré sa condamnation à une peine d’inéligibilité, elle caresse toujours l’espoir de se présenter.

Dans une interview à «la Tribune Dimanche», l’ex-chef de l’Etat juge «irresponsable» l’engagement de la responsabilité du gouvernement dans un contexte de fragilité politique et internationale.