L’ambitieux programme de Sébastien Lecornu sur les «territoires» sera-t-il suivi d’effets ? Depuis huit ans, le sujet est un serpent de mer du macronisme, souvent mis à l’agenda… et souvent renvoyé à plus tard.

Interviewé par «le Figaro» ce mardi, l’ancien ministre de l’Intérieur reproche au gouvernement d’avoir cédé aux «vieilles lunes socialistes» en suspendant la réforme des retraites.

Au deuxième jour de l’examen du projet de loi de finances en commission, le gouvernement a vu son projet de remplacer l’abattement fiscal pour les retraités par un forfait de 2 000 euros balayé par une majorité transpartisane.

Condamné à cinq ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007, l’ancien chef de l’Etat est sur le point d’être incarcéré ce mardi matin.

Le parti macroniste penche en faveur de Pierre-Yves Bournazel, le candidat d'Horizons dans la capitale, selon les dires de Franck Riester en charge des élections dans la formation dirigée par Gabriel Attal, mardi 21 octobre.

Sébastien Lecornu a annoncé devant l’Assemblée nationale, mardi 21 octobre, que la suspension promise lors de sa déclaration de politique générale sera bien incluse dans le projet de loi de finances.

Le chef de l’Etat, depuis la Slovénie ce mardi 21 octobre, a également contredit son Premier ministre en niant que la réforme de 2023 soit «suspendue». A l’Assemblée, Sébastien Lecornu a donné de nouvelles garanties à la gauche.

Dans ses amendements sur le budget, le RN veut supprimer des avantages fiscaux destinés à la création cinématographique pour en accorder aux propriétaires de patrimoine. Le parti d’extrême droite assume opposer les deux secteurs.

L’ancien président de la République a fait son arrivée à la prison de la Santé, ce mardi 21 septembre, dans le XIVe arrondissement de Paris. Une incarcération sous l’œil des médias, de ses partisans et de ses détracteurs.

Avant que l’ex-président de la République ne se rende au centre pénitentiaire parisien pour être incarcéré, ce mardi 21 octobre au matin, une petite foule à la moyenne d’âge élevée l’attendait pour témoigner de sa sympathie.

Face au conflit majeur que traverse la politique française, un collectif de médiateurs propose de retrouver le chemin du dialogue. Si la médiation ne gomme pas les oppositions, elle exige un retour à la responsabilité partagée.

Contrairement aux insoumis qui accusent les socialistes d’être une nouvelle fois tombés dans un piège tendu par l’exécutif, les écologistes suspendent leur jugement jusqu’aux votes sur les projets de loi de finances.

Invité par le Premier ministre à Matignon pour discuter des questions budgétaires lundi 20 octobre, le patron des LR à l’Assemblée à sécher le rendez-vous et n’a envoyé aucun de ses lieutenants pour le remplacer.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le groupe EPR n’a toujours pas décidé officiellement ce qu’il votera sur cette mesure majeure du budget de la Sécu, attendant que le texte arrive en commission jeudi 23 octobre.

Cet événement déplorable, dont il faudra tirer les leçons, devient dans la bouche des déclinistes de tous poils un nouveau signe de l’effondrement national. Propos grotesque qui vise à favoriser la solution autoritaire.

Projet constitutionnel très assuré de sa pertinence qui, par ces temps troublés, redonnera au politique de la clarté et de l’assurance, du temps et de la puissance.

Les quatre groupe de gauche ont voté en faveur de son instauration, le camp gouvernemental et le RN s’y sont opposés. Mais la bataille est loin d’être terminée.

Un ancien président condamné pour association de malfaiteurs et écroué : l’image, si elle est capturée, marquera nos rétines en captant un de ces moments de bascule historiques que nous sommes tous appelés à regarder en face.

Ce mardi 21 octobre, pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, un ancien chef de l’Etat sera incarcéré. A la Santé, le détenu VIP bénéficiera de conditions plus favorables que le commun des prisonniers.

Face à un monde qui change vite et alors que la communication politique a besoin de continuité, l’absence de commentaires du Président sur la crise politique que traverse le pays laisse pantois.

L’amendement déposé par les socialistes a été adopté en commission des finances, ce lundi 20 octobre, dans le cadre de l’examen du budget 2026. Réclamée de longue date, cette mesure vise à rétablir une équité fiscale.

Arrachée par la gauche au Premier ministre, la suspension du report de l’âge de départ à la retraite cristallise les débats budgétaires. Une «lettre rectificative» au budget de la Sécurité sociale pourrait assurer son effectivité.

Au premier jour de l’examen du projet de loi de finances, les élus ont acté le maintien de l’impôt exceptionnel sur les plus riches jusqu’à ce que le déficit passe sous les 3 %. La taxe Zucman a, elle, été rejetée dans la soirée.

«Libé» publie une nouvelle édition de sa carte des mouvements d’extrême droite radicale actifs en France. Leur stratégie est claire : éclater les organisations, multiplier les paravents et séparer militance et actions violentes.

L'élu Les Républicains de la Drôme a succombé, lundi 20 octobre, à la pathologie qui lui avait été diagnostiquée en 2023. Il avait défendu une proposition de loi visant à améliorer la prise en charge de la sclérose latérale amyotrophique.

L’ancien chef de l’Etat, qui doit être emprisonné mardi 21 octobre à Paris, a été reçu vendredi par le président de la République, Emmanuel Macron.

L'ancien Président va être écroué, mardi 21 octobre, après avoir été condamné dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Il dormira dans le dernier centre pénitentiaire de Paris. Voci ce qu'il faut connaitre sur ce lieu.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Les lamentations déplacées et comparaisons grotesques qui entourent la future incarcération de l’ex-président ont plus à voir avec une allégeance clanique qu’avec le souci de la justice.

Sans 49.3 pour sauver la copie budgétaire du gouvernement face à des oppositions qui voudront la démonter pièce par pièce, les députés EPR savent qu’ils devront être présents en permanence, contrairement à l’an dernier.

L’ancien président de la République, condamné à cinq ans de réclusion dans l’affaire libyenne, va être incarcéré à partir de mardi à la prison de la Santé à Paris.

Elu en 2020 dans une commune de 7 000 habitants, auteur de propos controversés sur l’esclavage, Johnny Payet espère être reconduit en 2026. Il estime avoir «ouvert la voie» à un ancrage local du parti d’extrême droite.

Alors que l’Assemblée débute ce lundi 20 octobre l’examen du projet de budget, les amendements soumis par les députés multiplient les références académiques, principalement à Gabriel Zucman et son célèbre projet de taxe.

Entre des soutiens du Président mécontents des concessions faites à la gauche et des députés PS qui en espèrent de nouvelles, l’examen des textes budgétaires, qui débute ce lundi 20 octobre en commission, a déjà des airs de jeu de dupes.

Membre du gouvernement de 1978 à 1981, l’avocate a œuvré pour la criminalisation du viol et la pérennisation de la loi Veil sur l’IVG. Elle s’est éteinte à 99 ans ce dimanche 19 octobre à Neuilly-sur-Seine.

Crise diplomatique entre la France et l’Algérie, «mots blessants» pour parler d’immigration… Le nouveau locataire de Beauvau souhaite «une rupture» avec son prédécesseur au moins sur la forme.

A la veille du début de l’examen du projet de loi de finances pour 2026, la «justice fiscale» fait l’objet d’amendements antinomiques de la part des forces politiques.

A deux jours de son incarcération, l’ancien chef de l’Etat clame encore son innocence ce dimanche dans «la Tribune Dimanche». Selon l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy pourrait rencontrer Emmanuel Macron avant mardi.

L’exécutif proposera l’examen des deux propositions de loi «à l’issue de l’examen du budget», a ajouté Maud Bregeon dans un entretien au «Parisien» ce dimanche. Les défenseurs de l’aide à mourir craignent l’enlisement.