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A Grenoble, le «sale coup» de Raphaël Glucksmann contre le NFP

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Le leader de Place publique a refusé d’apporter son soutien à Lyes Louffok, candidat LFI investi par le Nouveau Front populaire pour les législatives partielles en Isère, qui a lieu dimanche. Au niveau local pourtant, son parti avait dans un premier temps défendu cette candidature.
Raphaël Glucksmann lors d'un meeting pour les élections européennes, le 24 avril. (Pascal Bastien/Libération)
publié le 10 janvier 2025 à 14h37

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Dimanche, alors que certains d’entre vous succomberont une fois de plus aux délices de la frangipane, d’autres iront voter. Vous nous direz que les deux choses ne sont pas incompatibles mais il fallait bien trouver une accroche aussi bordélique que l’état de la gauche alors excusez-nous. Car, dans la première circo de l’Isère, où a lieu des législatives partielles après la démission du député insoumis Hugo Prevost, accusé de violences sexuelles, c’est un joli foutoir.

On essaye de vous résumer ça calmement : le candidat LFI investi pour le NFP, Lyes Louffok, bénéficiait de l’appui de la gauche unie et Place publique ; fin décembre, Maxence Alloto, président du groupe Place publique au conseil municipal de Grenoble, lui avait officiellement apporté son soutien. Un communiqué de Place publique 38 assurait même que le mouvement cofondé par Raphaël Glucksmann soutenait