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Avarie
Le camp présidentiel est comme un vieux rafiot qui prend l’eau de partout. Et ce n’est pas le soutien probable de Renaissance ce soir à Pierre-Yves Bournazel (Horizons) à Paris, plutôt qu’à Rachida Dati, qui va colmater les brèches. Ministre délégué à l’Europe, estampillé Renaissance, Benjamin Haddad ne compte pas lâcher sa camarade du gouvernement et juge, auprès de l’AFP, la décision de son parti «incompréhensible».
«Nous pouvons faire basculer Paris si nous sommes unis dès le premier tour