«On appelle ça un feuilleton…» se désole un communiste tout juste averti du dernier épisode de l’affaire Quatennens. Alors que les insoumis commençaient à préparer le retour du député, Céline Quatennens, son épouse, a envoyé un communiqué à l’AFP dans lequel elle fait état de «colères», de «crises» et «de violences physiques et morales» de sa part depuis «plusieurs années», réfutant tout «contexte d’agressivité mutuelle».
«Au cours de ces dernières années, j’ai voulu le divorce à trois reprises ; à chaque fois sous la pression je suis revenue en arrière», assure-t-elle. Expliquant prendre la parole «contre son gré» mais pour «rééquilibrer les choses», elle affirme : «Face aux déclarations de Monsieur Quatennens arguant médiatiquement «d’une seule gifle dans un contexte d’extrême tension et d’agressivité mutuelle», je ne peux rester dans le silence face à des propos que j’estime mensongers.» Des accusations démenties «catégoriquement» par Adrien Quatennens dans un communiqué publié en réponse plus tard dans la journée. L’élu insoumis dénonce des «accusations menson