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«Antinational», «criminel» : Bayrou et Attal font de Philippe l’ennemi public numéro 1 du «bloc central»

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En jugeant que «nous ne ferons rien de décisif dans les deux ans qui viennent», le maire du Havre s’est attiré des critiques d’une rare violence de ses successeurs à Matignon.
Edouard Philippe au Palais des congrès de Bordeaux, le 26 janvier. (Albert Facelly/Libération)
publié le 3 février 2025 à 11h03

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On se croirait presque revenus au temps où, depuis Matignon, Edouard Philippe essuyait les critiques régulières et virulentes de la macronie historique contre ce (pas vraiment) pote (trop) de droite. Sauf qu’aujourd’hui, glissement idéologique oblige, ce n’est plus le positionnement politique de l’ex-Premier ministre qui fait bondir ses anciens alliés mais sa prédiction pessimiste sur la fin du quinquennat, le patron d’Horizons, tourné vers la présidentielle, ayant jugé et regretté fin janvier «que nous ne ferons rien de décisif dans les deux&