Les chefs de partis conviés à Matignon cette semaine, prendront-ils, au passage, les dimensions du bureau du Premier ministre ? Pendant que la macronie tourne autour du trio de Premier-ministrables recalés des remaniements précédents (le garde des Sceaux, Gérald Darmanin, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, et celle du Travail et de la Santé, Catherine Vautrin), le PS, lui, se voit en relève d’un François Bayrou promis à la chute le 8 septembre. «Nous sommes prêts», a lancé samedi à Blois, le premier secrétaire, Olivier Faure, se gardant de parler en son nom mais assurant que ceux de son camp se portaient «volontaires pour être les suivants». A Emmanuel Macron de piocher «parmi nous,
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Après-Bayrou : entre socialistes et macronistes, la danse du centre
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Si les partis de l’ex-NFP, hors LFI, se voient prendre la suite du Premier ministre après le 8 septembre, la macronie considère plutôt le PS comme le partenaire d’une éventuelle nouvelle majorité.
Journées d'été des écologistes à Strasbourg, le 21 août 2025. (Mathias Zwick/Inland pour Libération)
Publié le 02/09/2025 à 6h00
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