Les esprits de tous bords se seront largement échauffés durant l’examen des premiers textes du second quinquennat Macron. Peut-être en partie à cause d’une fatigue généralisée en fin de session et après une intense séquence électorale, les incidents de séance se sont multipliés entre une majo relative sur les nerfs et des oppositions remontées comme des coucous, notamment à gauche. Aurore Bergé va jusqu’à réclamer des sanctions contre le député LFI Louis Boyard, qui s’était fait remarquer dès le début de la législature en refusant de serrer la main des élus RN.
La présidente du groupe Renaissance nous indique avoir mis en cause l’élu du Val-de-Marne, mardi 26 juillet en conférence des présidents, instance qui réunit chaque semaine la présidente de l’Assemblée, les vice-présidents, les présidents de commission et ceux des groupes (entre autres). Elle lui reproche ses «nombreuses invectives»,