Qui refuserait une invitation dans les somptueux jardins du château de Versailles, pour assister à une épreuve d’équitation ? Sous la nef du Grand Palais, pour un combat d’escrime ? Ou dans une loge du Stade de France, qui accueillera l’athlétisme ? Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris approchent, et avec eux les désirs d’assister aux compétitions. Comme à chaque grand événement sportif, les groupes privés, sponsors des rendez-vous, trient sur le volet leurs futurs invités. Des clients, collaborateurs, prestataires… Et des parlementaires. «Les partenariats, c’est avant tout du business et de l’image», glisse le communicant d’un sponsor. Et un bout de politique.
Dans son dernier rapport annuel, publié mercredi 10 avril, le déontologue de l’Assemblée nationale invite les députés à faire preuve de la «plus grande vigilance» quant aux invitations qu’ils so