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Chez Pol

Carole Delga (PS) : «Parfois, il faut être un peu tata flingueuse»

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Ils font partie des visages montants de la politique française mais demeurent méconnus du grand public. Chez Pol part à leur rencontre. Aujourd’hui, la présidente PS de la région Occitanie et ancienne ministre de François Hollande, Carole Delga.
Carole Delga, présidente socialiste du conseil régional d'Occitanie à Toulouse, le 27 juin. (Matthieu Rondel/Hans Lucas pour Libération)
publié le 4 août 2021 à 10h00

(Cet article est un extrait de Chez Pol, notre newsletter politique quotidienne réservée aux abonnés)

Bonjour. Qui êtes-vous ? Quels sont vos réseaux ?

Je suis Carole Delga, martraise, commingeoise, occitane, catalane, française et républicaine, européenne, universaliste et humaniste. Bref, je suis une citoyenne du monde.

Quand vous étiez petite, vous rêviez de devenir qui ? Tous les jours, un nouveau rêve.

Tous les jours, un nouveau défi. Tous les jours, un nouveau soleil.

C’est une bonne situation, ça, présidente de région la mieux (ré)élue de France malgré un record d’abstention ?

Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation… Mais ce n’est pas une bonne situation, c’est un engagement de chaque instant pour les habitants. C’est une vigilance de chaque jour. C’est ce qu’ils ont reconnu avec 100 000 de voix de plus au premier tour par rapport à l’élection de 2015.

Après 2020, 2021 n’est pas folichonne non plus. Donnez-nous une b