Menu
Libération
Désir d'avenir

Cohabitation ou destitution pour l’après Lecornu ? A gauche, des réunions mais toujours pas d’union

Réservé aux abonnés

Les partis de l’ex-NFP ont discuté de l’avenir, ce mardi 7 octobre. Tandis que les insoumis demandent le départ du chef de l’Etat, socialistes, écologistes et communistes réclament un Premier ministre issu de leur camp.

Marine Tondelier et Mathilde Panot à l'issue de la réunion dans le XIe arrondissement de Paris, ce mardi. (Denis Allard/Libération)
ParSacha Nelken
Journaliste - Politique
Publié le 07/10/2025 à 18h36

A gauche, les crises politiques sont souvent des affaires de réunions. Après s’être enfermés des jours et des nuits en 2022 et 2024 pour constituer la Nupes puis le NFP, insoumis, socialistes, écologistes et communistes ont renoué avec les rencontres à huis clos ce mardi 7 octobre, au lendemain de la démission surprise de Sébastien Lecornu. Avec une différence notable par rapport aux deux dernières élections législatives : désormais, impossible de mettre les quatre partis dans une même pièce. Les derniers mois d’intenses affrontements via médias interposés, entre LFI et le PS notamment, ont laissé des traces.

L’écologiste Marine Tondelier a pourtant essayé de rassembler tout le monde. La réunion qu’elle a appelée de ses vœux était ouverte à tous a-t-elle insisté lundi. Mais