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Rares sont les cadres du camp présidentiel à avoir réagi publiquement à la condamnation de Marine Le Pen, privilégiant faire dans la dentelle, la sobriété ou le silence. S’il n’a émis «aucun commentaire sur une décision de justice», François Bayrou a toutefois fait savoir par son entourage qu’il avait été «troublé par l’énoncé du jugement». Un «trouble» partagé par une bonne partie de la droite et l’extrême droite qui ont dénoncé, à l’instar de Jordan Bardella, une démocratie «exécutée». Député Modem, Bruno Fuchs n’a lui pas été «troublé» par ce jugement, à la différence du maire de Pau et chef de son parti.
Sur BFM TV, le président de la commission des affaires étrangères à l’Assemblée nationale a ainsi défendu la décision de justice : «Quand on vit dans un