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Congrès du PS : Olivier Faure et certains de ses opposants temporisent

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Alors que François Hollande appelle à un congrès pour remplacer le premier secrétaire socialiste, ses partisans, et quelques uns de ses opposants estiment le timing mal choisi.
Olivier Faure à l'Assemblée nationale, mardi 8 octobre. (Albert Facelly/Libération)
publié le 10 octobre 2024 à 12h13

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On vous racontait mardi que les députés PS n’étaient pas franchement emballés par la volonté de Raphaël Glucksmann de partir sans LFI en cas de nouvelles législatives dans neuf mois. C’est désormais l’offensive de François Hollande, qui exige un congrès socialiste en janvier 2025 pour remplacer Olivier Faure au plus vite, qui provoque quelques sourires crispés. D’abord parmi les proches du premier secrétaire, qui tient la boutique depuis qu’elle s’est effondrée à la suite du quinquennat du même Hollande. Mais aussi parfois chez des élus pourtant signataires de la motion de la maire de Vaulx-en-Velin, Hélène Geoffroy, adversaire de Faure au dernier congrès.

Comme Thierry Sother, député PS très critique de la Nupes, notamment du fait de la «désobéissance» aux traités européens inscrite dans le programme, mais bien plus à l’aise avec le NFP