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Le billet de Jonathan Bouchet-Petersen

Congrès en pagaille : ces partis qui risquent de trop se regarder le nombril alors que le monde bascule

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Le Parti socialiste, Les Républicains et les Ecologistes procèderont tous à l’élection de leurs nouveaux responsables au printemps. L’exercice est nécessaire mais induit une dynamique de campagne qui apparaît dérisoire face à la période de désordre géopolitique actuelle.
Devant le siège de LR à Paris, en février. (Corentin Fohlen/Libération)
publié le 17 mars 2025 à 12h11

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Bien sûr, il est sain que des formations politiques fassent vivre leur démocratie interne, respectant au passage leurs statuts. Mais force est de constater que, dans la période actuelle où les désordres du monde occupent particulièrement les esprits depuis le retour de Donald Trump à la tête des Etats-Unis, les congrès du Parti socialiste, du parti Les Républicains mais aussi des Ecologistes, prévus dans les prochains mois et pour lesquels plusieurs candidats sont déjà en campagne, apparaissent au mieux comme des événements secondaires. Il en va de même pour celui de Place publique