Menu
Libération
Au comptoir de Chez Pol

Rachida Dati ne peut s’en prendre qu’à elle-même

Article réservé aux abonnés
Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.
Rachida Dati, ministre de la Culture à Aubervilliers, le 1er juin 2024. (Albert Facelly/Libération)
publié le 4 avril 2025 à 12h36

Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.

On a les soutiens qu’on mérite

Il ne manquait plus qu’eux. Après avoir reçu le soutien de tout ce que la Terre compte de populistes (Elon Musk, Jair Bolsonaro, Viktor Orban), Marine Le Pen peut désormais compter aussi sur le soutien de Donald Trump et de son vice-président JD Vance. «C’est tellement mauvais pour la France et pour le Grand Peuple de France. LIBÉREZ LE PEN !», a exhorté le président ricain sur son réseau Truth Social, jugeant que la condamnation de la frontiste à une peine d’inéligibilité constituait une «chasse aux sorcières» pour l’empêcher de remporter la présidentielle de 2027. Un renfort qui n’est évidemment pas passé inaperçu. «Le soutien de Trump à Le Pen illustre le moment dans lequel nous sommes : celui d’une confrontation mondiale entre le camp de la démocratie et de la justice d’un côté, et le camp de la mafia fasciste contre l’Etat de droit de l’autre», a écrit sur X le député écolo Benjamin Lucas, ajoutant : «Le Pen n’en est que le pion français.» Sur France Info, Manuel Val