Le Premier ministre a adressé ce mercredi 17 septembre une missive aux édiles, révèle France Info, leur jurant de travailler pour faire reconnaître leur engagement et leur statut.

Portée par une fragile alliance LR-macronistes et peu gênée de partager «des valeurs» du RN, la candidate croit à sa revanche sur la gauche, en dépit de l’enquête pour «détournement de fonds publics et trafic d’influence» qui la vise.

Dans l’hypothèse de nouvelles législatives, celle que le Nouveau Front populaire a proposé pour Matignon, sans mandat, envisage d’être candidate dans la 6e circonscription de Paris si l’union n’est pas réactivée.

Alors que plus d’un maire sur quatre ne souhaite pas se représenter aux élections municipales 2026, plusieurs jeunes élus pour la première fois il y a cinq ans évoquent leur expérience : difficultés, accomplissements personnels…

A Bordeaux, ce dimanche 14 septembre les dirigeants frontistes, soucieux de se différencier de LFI, n’ont pas appelé à la démission de Macron, comme leurs militants, mais à l’alternance.

La présidente divers droite du conseil départemental des Bouches-du-Rhône et de la métropole Aix-Marseille-Provence a officialisé dans la soirée de samedi 13 septembre sa candidature aux municipales 2026.

La cheffe du file du parti d’extrême droite, qui imaginait pouvoir profiter de la lenteur du calendrier judiciaire pour se présenter à la présidentielle en 2027, voit ses plans brouillés par l’annonce de son audience en appel en janvier.

Tiraillé entre une partie de son électorat, qu’il a abreuvée de promesses sociales, et d’un autre côté les riches et industriels qu’il gâte discrètement, le parti d’extrême droite se montre toujours plus opportuniste et incohérent.

Jusqu’alors ministre des Armées, l’ex-LR a été nommé Premier ministre ce mardi 9 septembre par Emmanuel Macron. «Libé» revient sur les dates marquantes de son parcours politique.

Si les frontistes restent persuadés que la seule issue est une dissolution, certains d’entre eux veulent adopter une attitude constructive.

Le patron du parti communiste, Fabien Roussel demande à Beauvau de «revenir à l’esprit de la loi de 2014» sur la parité des candidats, «en renonçant à cette pénalité financière parfaitement ubuesque, à contre-courant de l’histoire».

Les Norvégiens ont voté ce lundi 8 septembre pour renouveler les 169 sièges de leur Parlement. Selon les premières projections, la gauche a remporté les élections législatives, toutefois marquées par une poussée de l'extrême droite.

Dans son fief du Pas-de-Calais, ce dimanche, la cheffe de file du Rassemblement national a de nouveau appelé à une dissolution. Malgré sa condamnation à une peine d’inéligibilité, elle caresse toujours l’espoir de se présenter.

La suppléante d’Aurélien Le Coq a été choisi, ce samedi 6 septembre, comme tête de liste pour les élections municipales de 2026 à Lille, face à l’écologiste Stéphane Baly et à un candidat socialiste pas encore désigné.

Le décret de financement des partis confirme que la plupart des partis n’ont pas respecté la parité aux législatives de 2024. A l'inverse de la droite et de l'extrême droite, le PCF est blâmé pour avoir présenté plus de femmes que d'hommes.

L’ancien boss de l’OL a confirmé ce jeudi 4 septembre viser les municipales de 2026, avec le soutien des Républicains de Laurent Wauquiez. Le signe qu’il est «le candidat de la droite réactionnaire», taclent les verts à la tête de la ville.

Fan des idées de l’économiste Julia Cagé, le citoyen retraité Jean-Marie David souhaiterait renouer la confiance entre les élus et leurs électeurs. Comment ? Par le «chèque démocratique» !

Hostile à LFI autant qu’à une nouvelle dissolution, l’eurodéputé appelle ses partenaires à négocier pour arracher aux macronistes un budget qui met à contribution les ultrariches.

Pour le député insoumis Christophe Bex, empêcher les détenus de voter par correspondance est un retour en arrière visant à ne pas les considérer comme des citoyens comme les autres.

Les principaux acteurs politiques continuent à tort de miser sur une élection présidentielle capable de rétablir la légitimité magique du vainqueur, confirmée par une victoire aux législatives, observe l’historien Nicolas Roussellier.

Le député des Alpes-Maritimes a officialisé ce mercredi 27 août, au 13 heures de TF1, sa volonté de détrôner son ancien mentor, Christian Estrosi, aux élections municipales de 2026.

L’annonce des dates de ce prochain scrutin a été formalisée lors du Conseil des ministres ce mercredi 27 août à l’Elysée.

La ministre de la Culture et maire du VIIe arrondissement se dit déterminée à «assumer ses responsabilités jusqu’au bout». Celle qui vise les municipales en 2026 y voit une «première étape du rassemblement à Paris».

Malgré l’espoir d’une candidature unique à gauche, chaque parti croit à une victoire, mais séparément. Dans ces conditions, les chances de l’emporter sur le camp des Bruno Retailleau et Jordan Bardella sont de plus en plus minces.

Malgré des ambitions affirmées, les futurs candidats à l’Elysée tâtonnent entre concepts flous, slogans creux et électorat désengagé. A vingt et un mois de l’élection, le socle stratégique de la campagne reste à construire.

Si, depuis les débuts de la Ve République, les législatives ont toujours été remportées par le président élu, lui permettant de faire voter ses lois, le vent semble avoir tourné depuis 2024.

Pour avoir dénoncé les «voix d’extrême droite» et les «idées fascistes» en présence d’un député RN lors de la commémoration d’une bataille, en Alsace, un responsable local du Souvenir français est la cible d’une plainte.

En censurant la loi visant à allonger la rétention administrative des étrangers en instance d’expulsion, le Conseil constitutionnel met au jour l’impasse de la stratégie de Bruno Retailleau.

Soucieux de séduire les industriels agroalimentaires, les députés du groupe d’extrême droite ont, sur les néonicotinoïdes comme les PFAS, minoré voire carrément nié les risques sanitaires.

L’élection législative partielle de la deuxième circonscription de Paris, qui devrait voir s’affronter les deux candidats du parti Les Républicains et un autre du Rassemblement national, aura lieu à la fin du mois de septembre.

L’éphémère ex-Premier ministre a assuré à la ministre de la Culture, qui menace d’une candidature dissidente pour la législative partielle à venir, qu’il n’avait aucune vue sur la mairie de Paris, objectif ultime de l’élue locale.

Dans une interview parue dans «le Figaro» vendredi, la numéro 3 de LR, Annie Genevard, estime encore possible un accord entre son parti et la ministre de la Culture pour la législative partielle à venir dans la 2e circonscription de Paris.

En se portant candidate face à Michel Barnier, Rachida Dati se place dans une longue série de guerres civiles de la droite parisienne, commencée en 1977. «Libé» en retrace quatre moments particulièrement sanglants.

La ministre de la Culture a annoncé à son parti qu’elle serait candidate dans la deuxième circonscription de Paris. L’ancien Premier ministre Michel Barnier vient d’obtenir le feu vert de son parti.

Le sénateur communiste, candidat à l’hôtel de ville de Paris lui aussi, voit dans la bataille actuelle entre la ministre de la Culture et Michel Barnier une raison de plus pour que la gauche avance unie vers la capitale.

Si Rachida Dati est jusqu’ici présumée innocente comme tout autre citoyen renvoyé devant un tribunal jusqu’à la décision judiciaire, en tant que élue, elle doit démissionner, ne serait-ce que pour préparer sa défense.

Le RN a condamné la future reconnaissance de l’Etat palestinien, annoncée par Emmanuel Macron jeudi 24 juillet, renforçant son soutien inconditionnel à l’armée israélienne.

Tout membre du gouvernement soupçonné d’infractions en matière d’atteinte à la moralité publique devrait être suspendu de sa fonction sur décision du procureur de la République, selon l’ancien magistrat administratif, Antoine Mendras.

Dans le cadre de son «plan dissolution», le PS prépare minutieusement les législatives partielles, notamment à Paris pour affronter Michel Barnier et peut-être Rachida Dati.

Avec un procès désormais certain pour corruption et trafic d’influence, la ministre accumule les polémiques à un an des municipales à Paris. La gauche n’a plus qu’à espérer que LR et la macronie la désignent comme tête de liste.