Il y a deux catégories de Le Pen. D’abord, les partisans de la frappe préventive. «Moi je sors mon épée et je tue Brutus avant qu’il ne me tue», fanfaronnait le grand-père, Jean-Marie, au moment de purger son (trop) ambitieux numéro 2, Bruno Mégret. Et puis les adeptes du Christ, qui tendent l’autre joue, et offrent la largeur de leur dos aux poignards de leurs ennemis. Marion Maréchal appartient décidément à la seconde catégorie. La petite fille du fondateur du FN (devenu RN), revenue dans la PME familiale par la petite porte en trahissant Eric Zemmour à la faveur de la dissolution de 2024, vient de recevoir un coup fatal de sa très chère tante.
Selon une information du Point, confirmée à Libé, le bureau exécutif du pa