Elle est devenue l’une des cibles favorites de la droite, caricaturée comme la représentante du «wokisme» en France pour avoir voulu porter la voix des «humiliés» pendant la primaire écolo. Il représente un candidat qui balaie l’expression d’un revers de la main, préférant parler au «peuple» plutôt qu’aux «minorités». Libération a réuni Sandrine Rousseau, à la tête du conseil politique du candidat écolo Yannick Jadot et Ian Brossat, directeur de campagne du communiste Fabien Roussel, pour débattre de la place que la gauche doit faire à ce mouvement de pensée sur les discriminations identitaires.
Ça veut dire quoi «woke» pour vous