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Chez Pol

En juin 2024, LFI était pour l’exécution provisoire de certaines peines liées à une élection

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Si Jean-Luc Mélenchon martèle depuis la condamnation de Marine Le Pen qu’il est opposé au principe, le mouvement insoumis avait pourtant saisi la justice lors des dernières législatives à ce sujet.
Jean-Luc Mélenchon à Amilly, dans le centre de la France, le 31 mars 2025. (Jean Francois Monier/AFP)
publié le 4 avril 2025 à 11h38

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Jean-Luc Mélenchon le martèle depuis la condamnation de Marine Le Pen : il est opposé à l’exécution provisoire des peines d’inéligibilité. L’insoumis l’a encore répété mercredi 2 avril lors d’une conférence diffusée sur les réseaux sociaux. Une idée qu’il avait déjà portée en novembre, lors des réquisitions du parquet. Et il n’est pas le seul : le député LFI Eric Coquerel a lui aussi partagé cette position toute la semaine.

Bon… vous commencez à nous connaître maintenant et vous voyez très bien où on veut en venir : le camp insoumis n’a pas toujours été opposé à l’exécution provisoire d’une peine. En juin, lors des législatives,