Accrochez-vous, «ça va décoiffer», tease avec gourmandise l’entourage de Gabriel Attal. Lui ne craint guère pour son brushing et jonglera avec ses casquettes de chef des députés Renaissance, de patron du parti et de candidat officieux à la présidentielle, pour conclure, dimanche 21 septembre à Arras, le raout de rentrée de son parti et de son groupe parlementaire.
Son équipe, qui n’a jamais lésiné sur les tartines de com, insiste sur l’importance du point de chute : le Pas-de-Calais, avec lequel Gabriel Attal tisse un lien depuis que, comme ministre de l’Education, il s’est rendu en urgence à Arras en 2023, après l’assassinat du professeur Dominique Bernard,