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Européennes : Manon Aubry en colère contre Raphaël Glucksmann et ceux qui «salissent» LFI

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Elections européennes 2024 dossier
C’était jeudi soir : le premier jour des universités de «Libé» à la Sorbonne, qui se poursuivent ce vendredi, et le grand oral des têtes de liste aux européennes, en partenariat avec l’émission «Backseat». «Chez Pol» vous raconte les coulisses.
La tête de liste insoumise aux européennes, Manon Aubry, jeudi 2 mai 2024 à la Sorbonne, à Paris, pour les universités de «Libé». (Denis Allard/Libération)
publié le 3 mai 2024 à 12h55

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Loin des yeux, près du cœur

Alors que le communiste Léon Deffontaines s’apprête le premier à monter sur le ring pour répondre aux questions des journalistes de la rédaction et du streamer Jean Massiet, Chez Pol l’interroge sur la mobilisation des étudiants en faveur de la cause palestinienne, à Sciences-Po Paris ou dans d’autres facultés. Jean-Luc Mélenchon et des élus insoumis se sont affichés sur des blocus, pourrait-il en faire autant ? «Je soutiens évidemment le mouvement», répond le candidat rouge, qui souligne la présence des jeunes communistes aux différentes manifestations. Si on ne l’y a pas vu pour l’instant, c’est surtout imputable à son emploi du temps très chargé. Et il n’est «pas exclu» de le voir à leurs côtés sur des campus si le mouvement venait à se poursuivre, et s’il trouvait le temps au milieu de ses impératifs de campagne. «C’est le gouvernement qui met de l’huile sur le feu en ne prenant pas clairement position pour une solution à deux Etats», estime aussi l’ancien secrétaire général des jeunes cocos.

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