«Rester ou partir… That’s the question !» Voilà Bruno Retailleau (et la droite) en plein «dilemme» shakespearien. A la veille du vote de confiance au Premier ministre, lundi, la droite enjambe déjà la chute annoncée de François Bayrou et s’interroge sur son avenir. Participer au prochain gouvernement ? Simplement le soutenir ? Voire le censurer et revenir dans le confort de l’opposition ? Au Port-Marly (Yvelines), face à 2 500 militants réunis pour le congrès de rentrée du parti Les Républicains, ce week-end, son patron a tenté de clarifier sa ligne, après plusieurs jours de cacophonie alimentée par les sorties des ténors du mouvement.
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Face aux «ingénieurs du chaos», Retailleau propose un «contrat de gouvernement» au successeur de Bayrou
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Le ministre de l’Intérieur et patron des Républicains a clôturé dimanche 7 septembre le congrès de rentrée du parti. Il entend poser des «conditions» à la participation de son camp au futur gouvernement.
Lors du discours de Bruno Retailleau, le 7 septembre au Port-Marly, dans les Yvelines. (Albert Facelly/Libération)
Publié le 07/09/2025 à 19h51
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