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Le président chinois, Xi Jinping, est arrivé dimanche après-midi pour une visite d’Etat de deux jours en France. A son atterrissage à l’aéroport d’Orly, ce n’est pas Emmanuel Macron mais bien Gabriel Attal qui l’attendait sur le tarmac, de quoi introduire une distance symbolique entre les deux chefs d’Etat et faire taire en théorie ceux qui oseraient dire que le président français fait trop copain-copain avec le dirigeant chinois.
Analyse
Mais cela n’a pas empêché Raphaël Glucksmann, dans une tribune parue dans le Monde et interrogé sur France Inter à ce sujet ce lundi matin, de critiquer ouvertement les choix diplomatiques d’Emmanuel Macron. La raison principale de cette colère ? L’escapade réservée par le président français à son homologue chinois dans les Pyrénées mardi. Un cadre intime, «amical», voire vacancier, qui ferait presque oublier qui est l’invité. «Xi Jinping n’est pas notre ami […], c’est le principal soutien aujourd’hui de la guerre de Pou