Putain, deux semaines… Dans la dernière ligne droite de campagne pour la présidence de LR, avant le congrès des 17 et 18 mai, Laurent Wauquiez s’avère, sans surprise, intenable. Quand il ne veut pas débarquer les ressortissants menacés d’expulsion à Saint-Pierre-et-Miquelon ou quand il ne mord pas les mollets de son rival, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, le candidat s’en prend à ses autres souffre-douleurs, ses «alliés» du socle commun.
Le petit-déjeuner hebdomadaire des dirigeants des forces politiques censées soutenir le gouvernement a tourné à la prise de becs mardi 29 avril, comme l’a révélé le Parisien. Pas fana du r