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Non seulement le Conseil national de la refondation (CNR) n’est pas mort, mais il bouge encore. Et même plutôt bien, à en croire Gabriel Attal. Le Premier ministre a livré mercredi 14 février en Conseil des ministres une communication pour dire à quel point cette invention d’Emmanuel Macron – qui fait un flop pour de nombreux élus et observateurs – était super. Super au point d’avoir un avenir, selon Attal, qui semble faire fi d’une réalité qui donne tort au Président. «Poursuivre le déploiement du CNR et, plus globalement, généraliser sa méthode constitue une des priorités du nouveau gouvernement», peut-on lire dans le compte rendu du Conseil des ministres. On y découvre qu’un CNR «santé mentale» sera lancé courant mars et qu’un «nouveau point d’étape en format plénier [les premiers ont largement été boycottés, notamment par les oppositions, ndlr] sera réalisé dans les prochaines semaines». Mais sait-on jamais, sur un malentendu…

«Au moins, on parle de l’inscription sur les listes électorales.» Malgré la polémique sur leur campagne ciblant les golfeurs,