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«Mansplaining», «macho», «femmes paillassons» : lundi, Valérie Hayer, tête de liste de Renaissance aux européennes, a été humiliée par Gabriel Attal, qui s’est pointé sur scène au beau milieu d’une interview de sa candidate. Hayer a été défendue par ses adversaires face à ce qui ressemble à une invisibilisation.

Mais la macronie, et sa tête de liste, ont aussitôt tenté une communication de crise pour sauver les meubles et dire que non, cette intervention du Premier ministre n’était pas un affront à la candidate. Qui s’est ainsi défendue sur X : «Instrumentaliser la cause féministe ne fait que lui nuire. Le véritable sexisme, c’est de penser à ma place. Parce que je suis une femme, je serais forcément invisibilisée par la présence d’un homme ?» Et d’ajouter, tout en précisant bien sa