Menu
Libération
Chez Pol

La France pose ses conditions pour rendre effective la reconnaissance de la Palestine

Réservé aux abonnés

Le ministre démissionnaire des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a expliqué les conditions pour la «mise en œuvre» de la reconnaissance de l’Etat palestinien. Et Yaël Braun-Pivet souhaite une réciprocité des pays voisins.

Emmanuel Macron lors de l'assemblée des Nations unies à New York, en septembre 2024. (Charly Triballeau/AFP)
Publié le 22/09/2025 à 11h17

Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.

C’est ce lundi après-midi, lors d’un sommet au siège des Nations unies à New York, que la France doit officiellement, par la voix d’Emmanuel Macron, reconnaître l’Etat palestinien, avec une dizaine d’autres pays. Plusieurs autres (Royaume-Uni, Canada, Australie) l’ont fait dès dimanche avant même cette assemblée générale. Une reconnaissance qui sera immédiatement effective, mais dont les traductions concrètes devront attendre que certains critères soient remplis. Notamment la libération des otages toujours détenus par le Hamas, al