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«Du fond du cœur, merci pour votre confiance et pour votre engagement.» C’est le message – automatique – que Benoît Simian a reçu pour lui souhaiter bienvenue à Renaissance, auquel il vient d’adhérer. L’ex-député de Gironde (LREM jusqu’en 2020, puis Libertés et Territoires), l’a aussitôt posté sur Twitter jeudi 29 septembre, semant l’embarras au siège du parti présidentiel, où l’on ne se bousculait pas pour réagir au recrutement de ce nouvel adhérent. Et pour cause, Simian a été condamné en juin à huit mois de prison avec sursis pour harcèlement sur son ex-compagne. Sans oublier l’ouverture d’une enquête en février pour des «faits de harcèlement» sur une ex-collaboratrice après un signalement du déont