(Cet article est un extrait de Chez Pol, notre newsletter politique quotidienne réservée aux abonnés)
Age de départ à la retraite repoussé à 67 ans, mise en cause des «detto-sceptiques» qui prôneraient une dépense publique échevelée, opposition au «revenu d’engagement» pour les jeunes (cher à l’exécutif) et revendication des suppressions d’APL ou d’emplois aidés… Non, il ne s’agit pas du programme de François Fillon pour 2022, mais bien de celui d’Edouard Philippe.
En une de l’hebdomadaire Challenges cette semaine et en plein lancement de son parti politique censé intégrer la future «maison commune» de la majorité, l’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron injecte une bonne dose de droite dans