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Libération
Au comptoir de Chez Pol

Le DG de Stellantis, Carlos Tavares, réclame une loi pour gagner moins (à peu près)

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Carlos Tavares dans l'usine Stellantis de Mirafiori à Turin, en Italie, le 10 avril 2024. (Massimo Pinca/Reuters)
publié le 16 avril 2024 à 13h06

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Appel aux députés : Carlos Tavares a besoin de vous. Le patron de Stellantis, géant automobile né de la fusion en 2020 entre Fiat-Chrysler et PSA, gagne beaucoup d’argent. Les actionnaires doivent valider ce mardi 16 avril un salaire de 36,5 millions d’euros pour 2023, soit une hausse de 56 % sur un an – ce qui devrait lui permettre de compenser les effets de l’inflation. Mais Tavares, patron le mieux payé de France, n’y peut rien, ce n’est pas de sa faute. Sur France Bleu Lorraine Nord, il le jure : «Si vous estimez que ce n’est pas acceptable, faites une loi, modifiez la loi et je la respecterai.» Ah, si seulement des gens en F