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Le Parti socialiste prêt à redébattre de la GPA

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Dans «Têtu», le patron des députés PS Boris Vallaud se dit favorable, à titre personnel, à «une GPA éthique ». Du côté de la direction, on ne ferme pas la porte à un éventuel débat.
Boris Vallaud à l'Assemblée nationale, le 23 octobre. (Denis Allard/Libération)
publié le 8 mars 2024 à 11h04

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La GPA va-t-elle offrir au PS un nouveau terrain d’affrontement interne ? Dans un entretien accordé à Têtu cette semaine, le patron des députés PS Boris Vallaud évoque ce «sujet qui questionne non seulement la société, mais aussi toutes les familles politiques». «Je suis, à titre personnel, favorable à une GPA éthique», annonce l’élu des Landes.

«Ma conviction s’est faite avec le long travail de fond conduit en 2010 par Najat [Vallaud-Belkacem, son épouse, ndlr], bien que cela ne soit pas la position majoritaire du PS. D’Elisabeth Badinter à