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Dissonance

Législative partielle des Français de l’étranger : le PS renoue avec la cacophonie sur LFI

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Alors que Carole Delga a expliqué ce mercredi 1er octobre ne pas soutenir la candidate LFI dans la 5e circonscription, qui regroupe la péninsule ibérique et Monaco, le parti affirme qu’il ne s’agit là que d’une position personnelle.

Carole Delga avec Raphaël Glucksmann (au second plan à gauche) et Olivier Faure aux Rencontres de la gauche, à Bram (Aude) le 27 septembre 2025. (Sandra Mehl/Libération)
ParSacha Nelken
Journaliste politique
Publié le 01/10/2025 à 18h58

Ces derniers temps les cadres du Parti socialiste, toutes tendances confondues, affichaient la même satisfaction. Depuis le dernier congrès de Nancy au mois de juin qui s’était (encore une fois) terminé dans le sang et les larmes, tous soulignaient la concorde en vigueur chez les roses redevenus une famille politique capable de parler d’une seule et même voix. Terminés les débats à rallonge, les remises en cause des positions des uns et des autres sur tel ou tel sujet, les prises de parole contradictoires… Du moins croyait-on. En réalité, les socialistes ont beaucoup de ressources. La preuve : ils sont capables de se friter sur une élection avec un taux de participation de 17,02 % : la législative partielle de la cinquième circonscription des Français de l’étranger.

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