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Si Macron a été réélu président de la République sans véritable programme, le camp présidentiel sait qu’il ne pourra pas compter, cette fois, sur un flou artistique dans ses propositions. Du moins s’il souhaite gagner des sièges de députés. Attal a donc dégainé samedi 15 juin toute une série de promesses de campagne. Sauf que ces éléments programmatiques posent de sérieuses questions, notamment quant à l’exercice du pouvoir par la macronie. On fait le point sur trois d’entre elles.
I. L’une des premières mesures énoncées par le Premier ministre est la mise en place d’une taxe sur les rachats d’actions pour financer la rénovation énergétique. En voilà une idée qu’elle est bonne. Tellement bonne que le gouvernement prévoyait dès avril, selon le Figaro de l’époque, de