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Ne pas vendre la peau du RN…
Depuis le premier tour des législatives, Raphaël Glucksmann vit «dans l’inquiétude», explique-t-il sur France Inter ce jeudi 4 juillet, et voit le second tour «comme un référendum avec une question simple : est-ce que nous voulons que l’extrême droite prenne le pouvoir en France ?» Estimant que nous sommes «dans une morale de l’extrême urgence», le leader de Place publique a voulu «lancer un cri d’alarme» pour éviter toute démobilisation. Il craint que les derniers sondages, qui semblent écarter la possibilité d’une victoire du RN et surtout d’une majorité absolue pour l’extrême droite, n’installent «un déni» et un relâchement. Car s’il y a bien eu de nombreux désistements pour instaurer un front républicain, Glucksmann n’est «pas sûr que les électeurs vont le faire». «Ce n’est pas parce qu’il y a eu des désistements républicains qu’il y aura des reports de voix automatiques. Ce n’est pas parce que les appareils politiques ont décidé d’empêcher l