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Lundi 20 novembre, Emmanuel Macron a été l’un des premiers dirigeants occidentaux d’envergure à prendre son téléphone pour appeler Javier Milei et le féliciter poliment – obligations diplomatiques oblige – pour son élection. Le président français a insisté sur «l’importance des enjeux globaux» après des prises de position pour le moins controversées du nouveau chef d’Etat argentin, populiste climatosceptique et libertarien d’extrême droite.
Un échange téléphonique de 15 minutes qui ne figure pas sur le site de l’Elysée – au contraire d’un entretien lundi avec Xi Jinping – et dont les Argentins n’ont visiblement pas retenu les mêmes éléments. Selon la presse argentine, Macron aurait «invité» Milei en France pour «une future visite d’Etat». Ce que dément l’Elysée après de Chez Pol. Ce serait plutôt l’inve