Ils n’en ont pas fini avec cette histoire. Plus d’un mois après la médiatisation par Sandrine Rousseau des accusations de violences psychologiques à l’encontre de Julien Bayou sur une ex-compagne, puis les révélations de Libération sur la surveillance par des militantes féministes dont l’ex-secrétaire national d’Europe Ecologie-les Verts (EE-LV) a fait l’objet, les écologistes ont été contraints, ce mercredi, de se replonger dans le sujet. Au lendemain de la publication d’un article du magazine en ligne Reporterre, dans lequel plusieurs anciennes compagnes de Julien Bayou témoignent, selon le média écolo, de leurs «blessures liées à leur relation» avec lui, une réunion de groupe parlementaire a été organisée pour discuter de la place du député de Paris dans le collectif écolo à l’Assemblée.
«On en reste là. Il reste en retrait médiatique. Il n’a pas de parole publique, fait savoir un participant. Il est d’accord avec cette mise en retrait, lui-même le souhaite pour l’instant», affirme une autre écolo. Lors de cette réunion, Bayou était présent pour répondre aux accusations dont il fait l’objet dans cet article. «Il est ensuite sorti de la salle pour lais