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Le billet de Jonathan Bouchet-Petersen

Les héritiers honteux d’Emmanuel Macron sont bien comptables de son héritage

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Qu’elles viennent de Gabriel Attal, d’Edouard Philippe ou d’un autre de ses anciens collaborateurs, les critiques des «affranchis» touchent parfois juste, mais ne peuvent valoir blanc-seing.

Agnès Pannier-Runacher, Gérald Darmanin et Gabriel Attal, secrétaire général de Renaissance, au meeting de rentrée du parti à Arras, dimanche 21 septembre. (Albert Facelly/Libération)
Publié le 22/09/2025 à 17h18

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On ne découvre pas les ambitions de Gabriel Attal pour 2027. En homme libre, bien sûr, mais à la tête du parti présidentiel. Un autre ancien Premier ministre, Edouard Philippe, libre lui aussi, cela va sans dire, a également la prochaine présidentielle dans le viseur. Tout comme Elisabeth Borne d’ailleurs, qui affirme sans trop y croire ne rien s’interdire,