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Au comptoir de Chez Pol

Les insoumis ouvrent grand leurs bras à Sandrine Rousseau et EE-LV lui montre la porte

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Gauche 2022 : le grand embouteillagedossier
Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confession : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.
Sandrine Rousseau (EE-LV), à Pantin (Ile-de-France), jeudi. (Corentin Fohlen/Libération)
publié le 1er octobre 2021 à 11h54

Asile politique

«La politique, ce n’est pas la guerre.» Ces mots signés Manuel Bompard ce vendredi matin sur France Info ne doivent pas cacher l’essentiel. Oui, le camp Mélenchon, tout pacifiste qu’il prétend être par la voix du directeur de campagne du leader insoumis, est bien lancé dans une opération de conquête des électeurs de Sandrine Rousseau. «Les électrices et les électeurs qui se sont retrouvés dans ses propositions à la primaire écologiste ont, en la personne de Jean-Luc Mélenchon, un candidat qui porte ce même degré de rupture et qui considère lui aussi que si on veut mettre un terme et apporter des réponses immédiates à l’urgence écologiste, il faut ces logiques de rupture», estime Bompard. Il assure que Rousseau est «la bienvenue» à LFI. Un discours en phase avec le reste des insoumis qui, depuis mardi et la victoire de Yannick Jadot, ouvrent grand leurs bras au camp Rousseau. Charge maintenant à cette dernière de répondre aux avances.

Tu es tolérée ici

Le ton continue de monter entre Sandrine Rousseau et ses camarades écolos après