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Libération
«Permis de tuer»

Les raccourcis de Macron et Attal sur l’affaire Sarah Halimi

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Le Président et le porte-parole du gouvernement remettent en question la décision, validée en cassation, de déclarer le meurtrier de Sarah Halimi irresponsable pénalement, allant jusqu’à dénoncer un «permis de tuer».
Emmanuel Macron à l'Elysée, en mars. (Christophe Ena/AP)
publié le 19 avril 2021 à 12h24

(Cet article est un extrait de Chez Pol, notre newsletter politique quotidienne réservée aux abonnés)

Dans le Figaro ce lundi, Emmanuel Macron rappelle un principe essentiel du droit français : «On ne juge pas les citoyens qui sont malades et n’ont plus de discernement, on les traite.» C’est d’ailleurs le raisonnement juridique qui justifie la décision de la cour d’appel de Paris,