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Dimanche 17 novembre, commentant un graphique qui montrait la chute préoccupante des taux de natalité en Europe, Elon Musk postait sur son compte X ce propos définitif : «Europe is dying» («L’Europe se meurt»). Quelques heures plus tôt, prenant pour argent comptant les délires d’un chanteur anglais qui prétendait que les prisons européennes étaient peuplées de personnes ayant exprimé des opinions en rupture avec le «politiquement correct», le «first buddy» (premier pote) de Donald Trump, tel que la presse américaine surnomme Musk, avait posté un non moins définitif «l’Angleterre devient un Etat policier».
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