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Raquel Garrido a écopé d’une sanction proche de celle d’Adrien Quatennens, pour des faits sans commune mesure mais aussi sans avoir bénéficié des mêmes procédures. Alors que le cas du député du Nord avait été jugé collectivement par tout le groupe LFI après de longues délibérations, celui de sa collègue de Seine-Saint-Denis a été tranché dans l’opacité par le bureau du groupe, constitué d’une vingtaine de membres, après l’audition d’une heure et demie de l’accusée et alors que de rares (et légers) griefs contre elle ont été rendus publics. Ce que l’intéressée dénonce vertement, mais elle n’est pas seule. Mardi 7 novembre dans la matinée, quelques heures après l’annonce de la sanction qui a outré certains insoumis, la réunion du groupe LFI a «exclusivement» porté sur ce thème, selon